Les producteurs de produits végétaux ne pourront plus utiliser de dénominations liées à la viande.
Les producteurs de produits végétaux ne pourront plus utiliser de dénominations liées à la viande.
Les galettes veggie, steaks de soja, saucisses de lentilles et autres imitations de viande à base de protéines végétales ne pourront plus s’appeler « saucisse », « jambon », « filet » ou encore « escalope », ou « aiguillette »… Le décret qui interdit l’utilisation de dénominations animales pour désigner les alternatives à base de protéines végétales vient d’être publié. Il concerne les produits fabriqués en France.
Pour les filières d’élevage, chahutées par le succès des préparations végétales, c’est un soulagement.
À l’inverse, la filière de l’alimentation végétale déplore cette décision qui « risque d’entraver et de retarder le développement de la filière végétale » nécessaire à la lutte contre le réchauffement climatique et à « une transition vers des alimentations plus saines et durables »
1 an pour écouler les stocks
Dans ce contexte les marques d’alimentation végétales auront la nécessité d’écouler au mieux leurs stocks et de prendre la parole pour défendre leur filière et partager les nouvelles dénominations de désignation de leurs produits.
De cette équation, les opérations de Barter répondent parfaitement à cette double problématique.
Le principe du barter :
- Écouler des stocks
- Les revaloriser pour éviter une perte de trésorerie et une éventuelle dépréciation
- Utiliser les revenus de la vente pour financer avantageusement de l’espace publicitaire dans les médias.
Des bénéfices immédiats :
- Gain de productivité
- Identification d’une nouvelle vie « responsable » pour les produits
- Éviter les destructions
- Optimisation des dépenses marketing
Ainsi, des stocks qui ne sont plus vendables peuvent retrouver des couleurs et être revalorisés grâce à une des solutions proposées par TEC qui répond à vos objectifs RSE, financiers et marketing de 2024.