Le climat est incertain depuis la guerre en Ukraine et désormais le conflit au Moyen Orient. Les secteurs en fort développement pendant la crise sanitaire ont connu une stabilisation et subissent aujourd’hui une baisse de leurs dépenses.
De nombreuses entreprises ne peuvent pas encore se permettre d’investir en média, ni en espace publicitaire, dans l’attente d’une stabilisation plus solide.
Une solution permet aux entreprises d’investir en publicité sans affecter leur trésorerie : le Barter avec le process « Full Echange ».
Ce mode de fonctionnement de plus en plus utilisé en raison de son efficacité et de sa simplicité consiste pour les marques à acheter des espaces publicitaires en échange de leurs propres produits, stocks ou services. La mécanique produit une valeur ajoutée qui permet à toutes les parties concernées d’en tirer profit. En voici les 3 atouts majeurs :
La réduction des coûts
L’une des principales raisons pour lesquelles les marques choisissent de faire des opérations de Barter est la réduction des coûts associés à leurs campagnes publicitaires. L’économie est directe et permet de bénéficier d’une visibilité accrue auprès des consommateurs cibles. Les campagnes de publicité sont financées par les stocks d’invendus ou dormants.
Augmenter la notoriété
Le barter permet de toucher un public plus large grâce à la visibilité publicitaire et de renforcer l’image de marque de l’annonceur. Les médias sélectionnés peuvent être :
- des magazines de grande diffusion ;
- de la télévision nationale, ARTV
- des afficheurs, DOOH, OOH…
- des sites web à fort trafic.
Être en conformité avec les lois anti gaspillage
Selon une étude de l’ADEME récente, après les opérations de déstockage, les invendus non alimentaires représentent encore une valeur marchande de plus de 2 milliards d’euros chaque année en France.
Environ la moitié (soit une valeur marchande de 850 M€) fait l’objet d’un don, et 14 % sont détruits. En sachant que la destruction provoque jusqu’à 18 fois plus d’émissions de gaz à effet de serre que leur réutilisation ! C’est pour mettre fin à ce gaspillage, que la loi AGEC oblige depuis le 1er janvier 2022, les producteurs, importateurs et distributeurs à réemployer, réutiliser ou recycler les produits non alimentaires invendus.
Le Barter permet de trouver un cycle de revente qui évite la destruction, de se placer en conformité avec la politique RSE de l’entreprise et de faire des économies.