L’économie circulaire va marquer un tournant essentiel pour les entreprises, par la rupture avec le modèle linéaire « extraire-fabriquer-consommer-jeter ».
Ce nouveau modèle repose sur un cycle complet d’utilisation des ressources visant à minimiser l’empreinte écologique des produits.
Ce modèle rationnalise l’utilisation des matières premières, réduit les déchets et favorise la durabilité des produits pour éviter leur destruction. Les entreprises sont ainsi encouragées à prolonger la vie des objets par la réparation, la remise à neuf, le recours à des produits reconditionnés et le remarketing des produits invendus. Et tout ceci, en investissant dans l’écoconception pour limiter l’impact environnemental dès la conception.
D’après le cabinet Forrester, l’économie circulaire va gagner du terrain dans les années à venir : plus d’un tiers des grandes entreprises du « Global Fortune 100 » auront adopté des objectifs ambitieux en ce sens d’ici 2025. Les entreprises ayant saisi les avantages concurrentiels de la réduction, réutilisation, et recyclage des matériaux se démarqueront de celles qui se contentent d’initiatives superficielles.
En 2025, les bénéfices financiers et d’efficacité opérationnelle surpasseront les réglementations comme moteurs de cette transformation, les entreprises cherchent en effet à réduire leurs coûts tout en optimisant leurs processus pour un impact positif sur l’environnement.
Les différents process des opérations de Barter, offrent aux entreprises des solutions complémentaires pour leur politique RSE et reposent sur l’utilisation et l’écoulement des stocks de produits invendus pour financer des achats médias ou hors médias.
Le Barter aide à répondre aux enjeux RSE des invendus et présente plusieurs avantages :
- Donner une seconde vie « responsable » aux produits
- Valoriser financièrement les stocks
- Optimiser les budgets marketing
- Éviter le gaspillage, les dépréciations de stocks et les destructions